Une série d’études scientifiques récemment relayées dans les milieux académiques et médiatiques soulève une hypothèse inattendue : le manque de rapports sexuels pourrait impacter la situation économique des individus. Loin d’être une simple provocation, cette affirmation s’appuie sur des recherches menées dans plusieurs pays, qui établissent un lien entre vie affective épanouie et performance socio-professionnelle.
Selon les chercheurs, une activité sexuelle régulière stimule la production d’endorphines et d’ocytocine, hormones connues pour renforcer la confiance en soi, la motivation et la capacité à prendre des initiatives. Ces effets psychologiques positifs influenceraient directement la manière dont une personne aborde ses projets professionnels ou personnels. À l’inverse, un manque prolongé d’intimité pourrait générer stress, anxiété et repli sur soi, autant de facteurs associés à une baisse de productivité et à une stagnation sociale.
Les auteurs des études précisent toutefois que l’absence de rapports sexuels ne conduit pas automatiquement à la pauvreté. L’intimité est présentée comme un levier complémentaire du développement personnel, au même titre que la santé physique, la formation ou l’accès aux opportunités économiques.
Ce regard nouveau sur la vie affective invite à une réflexion plus globale sur le bien-être et la performance. En intégrant l’intimité dans les dynamiques de développement, les chercheurs appellent à une approche plus holistique de la réussite individuelle, où l’équilibre émotionnel devient un facteur de prospérité. Fin